Avec ce vendredi 1er avril, neigeux, nous avons bien ri de vous offrir ce canular ! Amiens ne candidate pas aux jeux d’hiver. Mais pour le reste, les arguments sont vrais ! Et posez-vous la question quand vous reprenez les divers arguments…
Question altitude c’est vrai ! Amiens est la plus haute des villes entre Pékin et Barcelone.
Barcelone candidate bien pour les JO de 2034 et question température hivernale, ça dépasse 11 degrés…
Les terrils de Loos-en-Gohelle peuvent supporter le type d’infrastructure et permettraient une réhabilitation des sites.
Que penser de la décentralisation pour les JO de Paris 2024, à Marseille et en Polynésie ?
Que penser de Milan dont certaines épreuves se feront à 450 km de la ville recevant les JO 2026 ?
À Pékin, aucune neige naturelle ! Tout en neige artificielle ! Dans des sites industriels…
Je me pose donc la question de la pertinence des choix du Comité Internationale Olympique…
Comment permettre des JO avec 450 km de distance entre des sites montagneux ? À des températures hivernales de plus de 11 degrés pour Barcelone ? Au regard des choix du CIO, sans doute trop porté sur le financier et pas assez vers une écologie du sport, une philosophie saine, Amiens pourrait être légitime. Mais évidemment, il faut refuser cela ! Quoique où la coupe du monde de foot se tient-elle cette année ? Ah oui, CIO et FIFA ce n’est pas pareil, en êtes-vous sûr ? Un poisson d’avril rieur mais qui montre une réalité inconsciente des enjeux environnementaux pour que le sport perdure sans détruire nos environnements…
Léandre Leber