À la veille d’affronter Dunkerque, avec qui il a connu la montée lors de son prêt la saison dernière, Iron Gomis était présent en conférence de presse. Voici ce qu’il faut retenir de son intervention.
Dunkerque, un promu en bien meilleure posture
C’est une bonne équipe, qui a plutôt de bons résultats pour une équipe qui vient de monter. On a les armes pour pouvoir les concurrencer, même si ils sont devants nous au classement, on va tout faire pour les faire déjouer.
Les matchs font que ce sont nous qui sommes derrière eux. Ils ne sont pas si loin que ça, ils sont à 5 points je crois, il faut enchaîner les victoires pour pouvoir recoller.
Un équipe fragile
Nous on a beaucoup d’absence pendant nos matchs, on passe à travers nos première mi-temps, on réagit trop tard et on le paye.
On essaie de travailler sur ça. C’est sûr que l’on aimerait faire mieux, mais on travaille sur ça pour que ça se produise le moins possible.
On s’en aperçoit quand on est à l’extérieur (ndlr : du terrain). On fait dix bonnes premières minutes, on a une bonne occasion, on ne la met pas au fond, et après on se met dans le trou.
Je ne sais pas définir la cause mais ça joue un peu sur le mental.
Des joueurs prêts au combat
Je pense que ça, ce sont les matchs les plus compliqués (ndlr : face aux équipes de deuxième partie de tableau), il y a beaucoup de duels, beaucoup de combats. Ce sont des équipes qui jouent le maintien.
Je pense que l’on est prêts, ce sont les matchs où il va falloir assumer, il va falloir montrer qui on est.
C’est clairement la guerre, il faut ressortir victorieux de ces batailles. C’est ce que l’on va faire.
Une urgence de points mais pas de pression
En danger on ne peut pas dire ça tout de suite, parce que comme j’ai dit, Dunkerque est 9ème et ils ont juste 5 points d’avance sur nous donc on peut remonter très rapidement.
Là on enchaîne beaucoup de matchs, il va falloir enchaîner et prendre le maximum de points.
On ne se met pas plus de pression que ça, car si c’est une mauvaise pression ça va nous faire encore plus de mal.
Propos recueillis par Quentin Ducrocq
Crédit photo Leandre Leber Gazettesports.fr