L’ASC va défier une équipe en pleine forme
Pour le compte du championnat National, les joueurs de l’ASC se déplacent ce vendredi à Châteauroux.
La formation berrichonne est irrésistible surtout depuis qu’elle a recruté Adil Lebrun, milieu de terrain de l’Amiens AC arrivé durant le dernier Mercato.
Selon Christophe Pélissier, « Châteauroux, c’est meilleur que Strasbourg ».
Voilà l’adversaire que va rencontrer l’ASC. Un adversaire qui était venu s’imposer lors du match aller à la Licorne.
Après l’entrainement de ce jeudi matin, suivi du repas en commun au Centre de Formation, les joueurs de l’ASC ont quitté le stade de la Licorne pour Châteauroux où vendredi, ils vont se heurter à une des meilleures sinon la meilleure équipe du moment en National : Châteauroux dont on rappelle aussi qu’elle était venue s’imposer au match aller à Amiens.
Les joueurs de la Berrichonne sont en ce moment irrésistibles (huit buts marqués en trois matches et avec la 2e meilleure attaque ). Ils ont recruté durant le mercato Adil Lebrun qui s’est rapidement adapté et a métamorphosé le jeu de sa nouvelle équipe.
Pour ce match (vendredi 20 heures) , l’ASC sera privé de Monconduit et Haddou, suspendus, Bourgaud (fièvre) et Gopé (cheville) mais revient notamment Richard Soumah.
En conférence de prese, Christophe Pélissier a surtout insisté sur la qualité de l’adversaire :
« J’ai l’habitude de ne pas parler des absents. Il y aura seize joueurs ce vendredi à Châteauroux valides et en bonne forme. Ce sera à eux de prouver que, s’ils ont été retenus, ce n’est pas en raison des absents mais tout simplement parce qu’ils le méritent.
« Restons concentrés sur nous-mêmes. Il faut tout faire pour mettre en difficulté cette équipe de Châteauroux qui est sur une dynamique très intéressante. Je l’ai dit aux joueurs : Châteauroux, c’est meilleur que Strasbourg. Pour moi, le challenge est encore plus important. Châteauroux possède un potentiel offensif énorme avec de jeunes attaquants qui sont tous pistés par des clubs de L1.
« Nous savons quel challenge nous devrons relever sur une surface de jeu qui sera très compliquée surtout quand on n’y est pas habitué. A nous donc d’être aussi bons sinon meilleurs que nous ne l’avons été contre Strasbourg.
Ce sera un voyage périlleux. »
Dernier conseil de l’entraineur à son groupe :
« J’en ai marre d’être l’entraineur d’une équipe qui remet en confiance ses adversaires. Nous avons permis à Châteauroux (mais aussi Bastia, Epinal) de se relancer. Il faut faire preuve de plus de fermeté quand on est sur le terrain ». En rappelant que sa défense a encaissé 24 buts en 20 matches.
« C’est là où le bât blesse » a-t-il conclu
Lionel HERBET